Musique !

[Le Basque]

Pfou... Oui au moins !

[Ocatarinetabellatchitchix]

Voir plus d'ailleurs

[_Chris_]

Concernant le rap c'est presque aussi consternant que la parodie version Rock :

phpBB [video]

voir même (écoutez à 2 mn) :

phpBB [video]

Vous noterez la recherche dans les textes et les noms

[Rockandrail]

Maintenant, une chanson de gauche:

Ségolène a toujours raison
Qui voit plus haut que l'horizon
Et le futur est son royaume
Face à notre génération
Je déclare avec Aillagon
La flemme est l'avenir de l'homme

[Morvan]

je vois bien çà monté en opéra wagnérien........................

[joseph]

Dis donc Chris, t'as trouvé des perles rares là!
Ouaich bouffon
t'as rien pigé à ma chanson!

[Ocatarinetabellatchitchix]

je vois bien çà monté en opéra wagnérien........................

Oui et surtout il faut qu'ils meurent tous à la fin, c'est beau le dramatique

[Rockandrail]

ça, c'est la base, le socle de l'opéra: au premier acte, ils vont mourir; au deuxième acte, ils meurent; au troisième acte, ils sont morts. Le problème, c'est qu'ils se croient toujours obligés de "chanter" pour le faire savoir...

[Le Basque]

Es muss sein.

[Didier]

Les noces de Figaro, opéra de Mozart, tiré de Beaumarchais.

Résumé :

Figaro, entré au service du comte Almaviva, doit être fiancé à Suzanne, première camériste de la comtesse. Mais le comte, qui commence à s’ennuyer avec sa femme, est à la recherche d’aventures galantes. Attiré par Suzanne, il envisage de restaurer le droit de cuissage du seigneur, qui lui permet de goûter aux charmes de toute jeune mariée avant que le mari ait pu en profiter.

Aidé par le peu scrupuleux Bazile, le comte fait à Suzanne des avances de plus en plus claires, qui entraînent celle-ci à tout révéler à Figaro et à la Comtesse.

Le comte doit alors faire face à une coalition qui finira par triompher de lui. Ridiculisé lors d’un rendez-vous galant qui était en fait un piège, il se jette à genoux devant sa femme et lui demande pardon devant tout le village rassemblé, tandis que Figaro épouse enfin Suzanne.

L’intrigue est enrichie par l’intervention de plusieurs autres personnages, notamment Chérubin, jeune page follement amoureux de la Comtesse, mais aussi de Suzanne et de Fanchette. Pour continuer les permutations amoureuses, Marceline aime Figaro et vient exiger auprès du comte qu'il se marie avec elle (ce qui deviendra impossible lorsqu’on apprendra, à l’acte III, qu’elle est la mère naturelle de Figaro !).

L’un des moments forts de la pièce est le monologue de Figaro, dont un passage qui évoque le comte Almaviva résume à merveille les griefs accumulés contre la noblesse quelques années avant la Révolution :

« Parce que vous êtes un grand Seigneur, vous vous croyez un grand génie !... Noblesse, fortune, un rang, des places : tout cela rend si fier ! Qu’avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus... »
« Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur »
« L’usage est souvent un abus »
« Médiocre et rampant et l’on arrive à tout »
« Prouver que j’ai raison serait accorder que je puis avoir tort »

Mais bon... Personne ne meurt sinon de ridicule, les hommes sont renvoyés par les femmes à leur travers ; et la musique de Mozart est tout simplement géniale de bout en bout.