Bon, ce *$¤££*+§§ de camion m'a donné bien du fil à retordre!
Cette saloperie de peinture (quoique je me demande si c'est réellement une peinture) est absolument inattaquable et surtout elle est très épaisse.
Bref, après divers essais de trempette dans: du White spirit, du liquide de frein, du décap four, des cristaux de soude, du décapant peinture, de l'acétone et pour finir dans du coca cola (on ne sait jamais, ils sont tellement forts ces américains!

) il s'avère que seul l'alcool à brûler arrive à ramollir la peinture.
Donc, après 24h de trempette, on attaque à la brosse laiton sur la mini perceuse. Après avoir complètement bouffé la brosse (bah oui quand même

) il reste tout plein de peinture dans tout plein de recoins du châssis...
On passe alors à l'étape sablage qui jusque là s'était révélée aussi inefficace que les précédentes opérations.
J'ai pris la décision de changer quelques paramètres de sablage...

déjà, on prend du sable un peu plus gros. J'avais en stock du sable issu d'une plage corse (coucou OKT!) à la granulométrie somme tout très régulière et pas encore trop grossière, ni trop fine.
On met donc ça dans le bocal de la sableuse artisanale gentiment prêtée par un collègue et on envoi... 4,5 bar de pression dans le bousin!
OUAH ça marche! bon après deux heures de sablage, le châssis sort presque propre, avec encore quelques traces de peinture par ci par là. La cabine est décapée correctement à l'intérieur, on passe à l'étape "passage de l'apprêt".
Étape suivante: peinture.
