EC64 a écrit:Pas énarque, simplement cheminot formé à rationaliser les problèmes pour mieux les résoudre !!
C'est à peu près pareil sur ce fil pour lequel Michel est venu me distraire de mes occupations du moment, et où il semble que la ligne principale soit l'émotif et pas le rationnel.
Toujours pas le temps de tout lire mais je ne sais pas si c'est utile. Hier soir j'ai commencé par le début d'où ma question. Là j'essaie par la fin et ça ne donne pas envie.
Pour moi, de toute façon le Top Modèle ferroviaire HO, c'est la BB 25202 Roco sortie en 2000 et que j'attendais depuis 1966. Avec elle ce sont les DEV Inox longues Rivarossi.
On va m'objecter des tas de trucs comme l'abcence de rouleaux de PQ à l'échelle dans les
ch WC mais la cote d'amour ne tient pas à ça.
Sinon on peu poser la question autrement: quels sont les modèles particulièrement réussis ces dernières années? Ma réponse: tout ou presque. Il vaut mieux en effet chercher les exceptions car toutes les dernières réalisations de nos fabricants sont d'un niveau exceptionnel de rendu général et de détail.
Alors les exceptions:
- le vert inexact de la 5400 Jouef (encore merci à manette Z qui a repeint la mienne)
- le X2400 Electrotren perché sur échasses, les mêmes déjà utilisées pour la réédition par HJ de la 7100 Rivarossi.
- les 2D2 5500 Jouef, à cause de leur motorisation car côté caisse rien à redire elles sont très belles.
Je ne suis pas Jouefophobe mais c'est vrai que je ne cite que des production HJ. Il y a eu débat sur le gris de 7200/22200 LSM mais comme ça ne m'intéresse pas dans l'absolu je n'ai pas d'avis.
Tout le reste est très beau, avec peut-être un prix d'excellence pour la Pacific REE et les OCEM ou Rapide Nord LSM (mais avec les rapides Nord il y avait des problèmes d'attelages exaspérants).
Si d'ailleurs on parlait des capacités de traction on de roulement pour les voitures il y aurait beaucoup plus à dire, et la finesse a aussi comme rançon une grande fragilité.
Une brute qui tourne en rond ne va pas plus loin que deux intellectuels assis (Michel Audiard revisité)