Zigomaticothéque......!!!!!
Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par Lebrac
19 Sep 2012, 12:17
Rugby BWEst : In cauda venenum
"De toute mes qualités, et Dieu sait que j´en possède, ma modestie est celle que je préfère!" Lord Brett Sinclair
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par gib
19 Sep 2012, 13:04
Pour que tu comprennes, une petite nouvelle , sujet imposé sur un forum d'écriture, que je veux partager.
Le sujet: Au sommet du Mont Blanc gît une soupière. Tu raconteras, du point de vue de la soupière elle même, l'aventure qui l'a conduite là-haut.
LA SOUPIERE DE St. GERMAIN OU L'HISTOIRE REVISITEE
La clé crissa dans la porte et le geôlier entra dans la cellule, en me tenant délicatement contre lui de l'autre main. Une fois de plus... Mais ce soir-là, les circonstances étaient particulières. En effet, c'était la dernière nuit pour celle qui avait été ma maitresse et qui serait décapitée le lendemain. Elle avait souhaité me revoir une dernière fois avant son départ pour un monde meilleur, et avait insisté pour que je l'accompagne jusqu'à cette ultime étape.
-Ma reine, dit le geôlier, je vous apporte votre dernier repas.
-Très bien, répondit-elle dignement, je vous remercie. Veuillez donc poser la soupière sur la table.
Certaines personnes, au hasard de mes rencontres parlaient de moi, il y en a qui prétendaient même
m'avoir trouvé du coté de Sèvres, alors qu'en réalité je voyageais depuis si longtemps, sans prendre de rides, et j'avais rencontré beaucoup de têtes couronnées lors de tous ces siècles passés au service des autres. Les pauvres, s'ils savaient ...
-Je souhaiterais, poursuivit le reine, que vous assistiez à mon exécution demain, et comme vous m'avez toujours été fidèle, je voudrais vous faire présent de ma soupière, elle vous appartiendra demain.
-Soyez en remerciée, Majesté, répondit le gardien, en s'inclinant avec respect, avant de sortir du cachot pour me laisser en tête-à-tête avec Marie-Antoinette.
Horreur, pensais-je, voilà qu'il me faudra désormais être au service d'un manant. La prisonnière, comme si elle avait lu mes pensées, me regarda pour me dire:
-N'ayez crainte, mon amie, vous serez entre de bonnes mains.
L'homme revint un peu plus tard, pour demander si la Reine souhaitait autre chose, et elle répondit qu'elle voulait se recueillir. Il s'empara de moi et me ramena au poste de garde où je fus l'objet de toutes les attentions. Sa force brutale avait réveillé en moi des sensations inconnues, et la nuit fut courte. Nous dormîmes peu, pensant à la funeste journée qui s'annonçait.
Je fus contrainte de le suivre, ce 16 octobre 1793, à midi, heure à laquelle la reine fut attachée sur la planche, et il me déposa près d'elle, ma tête près de la sienne. Je regardais avec effroi la guillotine, craignant de devoir subir le même sort que mon infortunée maitresse.
Mon coeur bat très fort, le couperet tombe et je m'aperçois que je vis encore. Mon nouveau maître voulait juste conserver quelques gouttes du liquide vital qui jaillit encore à gros bouillon, mais le bourreau s'aperçoit de ma présence, et veut en finir avec moi. Il s'approche et j'imagine déjà ses godillots me transcender en mille éclats coupants.
Fort heureusement, en organisant la matière qui me compose pour me donner vie, mon créateur m'en avait informé. Nous autres disposons d'une faculté inhérente à notre condition: nos pieds possèdent leur vie propre, et ils savent prendre des décisions dans les situations extrêmes. Je les sentis donc se rétracter et je me mis à rouler vers le bord du lieu de supplice, avant de chuter. Fort heureusement, mon nouveau maître, resté près de moi, me rattrapa de ses bras robustes et s'empressa de me ramener chez lui. Regard étonné du bourreau, et à nouveau cette sensation étrange de pucelle entre les bras virils d'un homme.
Il est encore essoufflé, en arrivant chez lui, et me dépose délicatement sur un bahut qui trône dans l'entrée. Ce sera moi dorénavant qui serai l'objet de toutes les regards, telle une comtesse venérée par ses barons et baronnets.
C'était un brave homme, en fin de compte, mais un jour arrive par lequel le destin décide de notre
séparation. Je m'étais attachée à lui, mais ses enfants, qui sont maintenant maîtres des lieux, me perçoivent d'un oeil différent. Pour eux, je ne suis qu'une relique d'un temps échu et je me vois contrainte d'accepter la séquestration au fond d'une cave d'où je ressortirai plus tard.
Nous sommes en 1870 et la Prusse se réveille. Il y a beaucoup d'agitation, mais je n'entends qu'un vague brouhaha par le soupirail. Des pas, enfin ... deux mains qui saisissent mon habitat, cette caisse que je détestais tant au début, et enfin la délivrance. Des inconnus sont entrés dans la maison et en me découvrant, l'un d'eux s'exclame:
-La pauvre, elle mérite un meilleur sort.
Ce savoyard, ramoneur et révolutionnaire à temps partiel (encore un, ça ne changera donc jamais ?) semble s'être épris de moi, et par le hasard des migrations, je me retrouve en Savoie, dont tout un chacun sait que c'est le pays originaire de cette noble corporation (Les ramoneurs, pas les révolutionnaires). Il dut en effet fuir la capitale, recherché qu'il était pour son activisme, et décida de regagner ses pénates.
Il retrouva sa dulcinée, et j'en souffris, trahie par cet individu avec qui j'avais parcouru tant de chemins cahotiques jusqu'à trouver son village natal, perdu dans les hauteurs. Mais elle m'accueillit à bras ouverts, ce qui apporta un peu de baume à mon coeur meurtri. Comme cette situation convenait à mes pieds, je ne jugeais pas utile de lui faire une scène de jalousie.
En plus il avait déposé en mon sein sa raclette qui dispensait une odeur de suie, alors qu'il vivait maintenant de son troupeau. En souvenir, avait-il dit en riant. Mon oeil, je sais bien que tu ne la poseras pas dans ton lit, ta raclette !
Je connus plus tard ce que d'aucuns appellent encore aujourd'hui la belle époque, et j'ai rencontré de nombreuses personnes essayant de m'attribuer une origine, dans ce qui était devenue une auberge de montagne, mais avec ce sentiment confus de n'être plus considérée que comme un objet, certes regardée avec plaisir, mais avec ces sentiments d'inutilité et de dépréciement qui avaient point en moi. J'aspirais à autre chose. J'aurais aimé voler, comme ces nouveaux objets que j'admirais parfois dans le ciel (des aéroplanes, parait-il), lorsqu'il faisait beau et que les fenêtres étaient ouvertes.
A nouveau les affres de l'Histoire, avec ses périodes troubles mais dont je ne veux pas parler, pour vous dire qu'en ce début de deuxième moitié du siècle dernier, je me suis retrouvée remisée au fond de l'auberge devenue maintenant atelier d'entretien de cette étrange structure qu'ils nomment téléphérique.
Mais je commence à prendre de l'embonpoint, et je suis pleine de graisse. Ils n'ont rien trouvé de mieux pour m'embêter, alors que j'aime tellement le rafinement. Vous imaginez celà, une réserve de graisse pour l'entretien des mécanismes dans une soupière ?
Toujours est-il que je me redécouvre une utilité, même si elle ne correspond pas à mes aspirations.
Et encore des nouveaux bruits, qu'est ce encore cette fois-ci ? Il est curieux cet avion (c'est le nouveau nom des aéroplanes, maintenant) avec ses hélices sur la tête ... Mais que fait-il ? Je crois bien qu'il s'approche ! Mais c'est qu'il se pose, ce bougre de diable bruyant. Ah il se calme et je vois un bonhomme qui se dirige vers moi. Je suis empoignée une fois de plus et je me retrouve dans leur gyromachin.
Je vais voler, enfin, et mon voeu le plus secret, celui dont j'attends la réalisation depuis si longtemps va se réaliser ! Avec en prime une cure d'amaigrissement, puisque le bonhomme tranvase ma graisse excédentaire dans un autre récipient. Va donc, hé, boite de conserve !
Toujours est-il que nous sommes maintenant dans les airs, et que nous approchons de ce "Mont Blanc" dont ils parlent tant. Mais ils n'ont pas d'imagination, parce que tous les monts sont blancs à cette altitude.
-Tenez-vous, dit le pilote. Trou d'air. La porte est restée ouverte et l'appareil tangue dangeureusement. Et mes pieds qui reprennent le dessus, et je roule, roule, jusqu'à me retrouver au bord de l'orifice.
Trou d'air, et me voilà plongée dans le vide. Je vole, JE VOLE !
Et je finis par me retrouver sur un tas de neige au sommet d'un de ces monts blancs, tandis que l'hélicoptère disparaît dans la brume pour se perdre à jamais.
Et je me retrouve seule, mais enfin libre. Pour combien de temps ? Qui sera le prochain à m'empoigner ? Et je suis triste, tout à coup, en pensant à tous ceux qui voudraient m'avoir près d'eux, sur une table, alors qu'ils n'ont même pas de toit.
N.L.
Le sujet: Au sommet du Mont Blanc gît une soupière. Tu raconteras, du point de vue de la soupière elle même, l'aventure qui l'a conduite là-haut.
LA SOUPIERE DE St. GERMAIN OU L'HISTOIRE REVISITEE
La clé crissa dans la porte et le geôlier entra dans la cellule, en me tenant délicatement contre lui de l'autre main. Une fois de plus... Mais ce soir-là, les circonstances étaient particulières. En effet, c'était la dernière nuit pour celle qui avait été ma maitresse et qui serait décapitée le lendemain. Elle avait souhaité me revoir une dernière fois avant son départ pour un monde meilleur, et avait insisté pour que je l'accompagne jusqu'à cette ultime étape.
-Ma reine, dit le geôlier, je vous apporte votre dernier repas.
-Très bien, répondit-elle dignement, je vous remercie. Veuillez donc poser la soupière sur la table.
Certaines personnes, au hasard de mes rencontres parlaient de moi, il y en a qui prétendaient même
m'avoir trouvé du coté de Sèvres, alors qu'en réalité je voyageais depuis si longtemps, sans prendre de rides, et j'avais rencontré beaucoup de têtes couronnées lors de tous ces siècles passés au service des autres. Les pauvres, s'ils savaient ...
-Je souhaiterais, poursuivit le reine, que vous assistiez à mon exécution demain, et comme vous m'avez toujours été fidèle, je voudrais vous faire présent de ma soupière, elle vous appartiendra demain.
-Soyez en remerciée, Majesté, répondit le gardien, en s'inclinant avec respect, avant de sortir du cachot pour me laisser en tête-à-tête avec Marie-Antoinette.
Horreur, pensais-je, voilà qu'il me faudra désormais être au service d'un manant. La prisonnière, comme si elle avait lu mes pensées, me regarda pour me dire:
-N'ayez crainte, mon amie, vous serez entre de bonnes mains.
L'homme revint un peu plus tard, pour demander si la Reine souhaitait autre chose, et elle répondit qu'elle voulait se recueillir. Il s'empara de moi et me ramena au poste de garde où je fus l'objet de toutes les attentions. Sa force brutale avait réveillé en moi des sensations inconnues, et la nuit fut courte. Nous dormîmes peu, pensant à la funeste journée qui s'annonçait.
Je fus contrainte de le suivre, ce 16 octobre 1793, à midi, heure à laquelle la reine fut attachée sur la planche, et il me déposa près d'elle, ma tête près de la sienne. Je regardais avec effroi la guillotine, craignant de devoir subir le même sort que mon infortunée maitresse.
Mon coeur bat très fort, le couperet tombe et je m'aperçois que je vis encore. Mon nouveau maître voulait juste conserver quelques gouttes du liquide vital qui jaillit encore à gros bouillon, mais le bourreau s'aperçoit de ma présence, et veut en finir avec moi. Il s'approche et j'imagine déjà ses godillots me transcender en mille éclats coupants.
Fort heureusement, en organisant la matière qui me compose pour me donner vie, mon créateur m'en avait informé. Nous autres disposons d'une faculté inhérente à notre condition: nos pieds possèdent leur vie propre, et ils savent prendre des décisions dans les situations extrêmes. Je les sentis donc se rétracter et je me mis à rouler vers le bord du lieu de supplice, avant de chuter. Fort heureusement, mon nouveau maître, resté près de moi, me rattrapa de ses bras robustes et s'empressa de me ramener chez lui. Regard étonné du bourreau, et à nouveau cette sensation étrange de pucelle entre les bras virils d'un homme.
Il est encore essoufflé, en arrivant chez lui, et me dépose délicatement sur un bahut qui trône dans l'entrée. Ce sera moi dorénavant qui serai l'objet de toutes les regards, telle une comtesse venérée par ses barons et baronnets.
C'était un brave homme, en fin de compte, mais un jour arrive par lequel le destin décide de notre
séparation. Je m'étais attachée à lui, mais ses enfants, qui sont maintenant maîtres des lieux, me perçoivent d'un oeil différent. Pour eux, je ne suis qu'une relique d'un temps échu et je me vois contrainte d'accepter la séquestration au fond d'une cave d'où je ressortirai plus tard.
Nous sommes en 1870 et la Prusse se réveille. Il y a beaucoup d'agitation, mais je n'entends qu'un vague brouhaha par le soupirail. Des pas, enfin ... deux mains qui saisissent mon habitat, cette caisse que je détestais tant au début, et enfin la délivrance. Des inconnus sont entrés dans la maison et en me découvrant, l'un d'eux s'exclame:
-La pauvre, elle mérite un meilleur sort.
Ce savoyard, ramoneur et révolutionnaire à temps partiel (encore un, ça ne changera donc jamais ?) semble s'être épris de moi, et par le hasard des migrations, je me retrouve en Savoie, dont tout un chacun sait que c'est le pays originaire de cette noble corporation (Les ramoneurs, pas les révolutionnaires). Il dut en effet fuir la capitale, recherché qu'il était pour son activisme, et décida de regagner ses pénates.
Il retrouva sa dulcinée, et j'en souffris, trahie par cet individu avec qui j'avais parcouru tant de chemins cahotiques jusqu'à trouver son village natal, perdu dans les hauteurs. Mais elle m'accueillit à bras ouverts, ce qui apporta un peu de baume à mon coeur meurtri. Comme cette situation convenait à mes pieds, je ne jugeais pas utile de lui faire une scène de jalousie.
En plus il avait déposé en mon sein sa raclette qui dispensait une odeur de suie, alors qu'il vivait maintenant de son troupeau. En souvenir, avait-il dit en riant. Mon oeil, je sais bien que tu ne la poseras pas dans ton lit, ta raclette !
Je connus plus tard ce que d'aucuns appellent encore aujourd'hui la belle époque, et j'ai rencontré de nombreuses personnes essayant de m'attribuer une origine, dans ce qui était devenue une auberge de montagne, mais avec ce sentiment confus de n'être plus considérée que comme un objet, certes regardée avec plaisir, mais avec ces sentiments d'inutilité et de dépréciement qui avaient point en moi. J'aspirais à autre chose. J'aurais aimé voler, comme ces nouveaux objets que j'admirais parfois dans le ciel (des aéroplanes, parait-il), lorsqu'il faisait beau et que les fenêtres étaient ouvertes.
A nouveau les affres de l'Histoire, avec ses périodes troubles mais dont je ne veux pas parler, pour vous dire qu'en ce début de deuxième moitié du siècle dernier, je me suis retrouvée remisée au fond de l'auberge devenue maintenant atelier d'entretien de cette étrange structure qu'ils nomment téléphérique.
Mais je commence à prendre de l'embonpoint, et je suis pleine de graisse. Ils n'ont rien trouvé de mieux pour m'embêter, alors que j'aime tellement le rafinement. Vous imaginez celà, une réserve de graisse pour l'entretien des mécanismes dans une soupière ?
Toujours est-il que je me redécouvre une utilité, même si elle ne correspond pas à mes aspirations.
Et encore des nouveaux bruits, qu'est ce encore cette fois-ci ? Il est curieux cet avion (c'est le nouveau nom des aéroplanes, maintenant) avec ses hélices sur la tête ... Mais que fait-il ? Je crois bien qu'il s'approche ! Mais c'est qu'il se pose, ce bougre de diable bruyant. Ah il se calme et je vois un bonhomme qui se dirige vers moi. Je suis empoignée une fois de plus et je me retrouve dans leur gyromachin.
Je vais voler, enfin, et mon voeu le plus secret, celui dont j'attends la réalisation depuis si longtemps va se réaliser ! Avec en prime une cure d'amaigrissement, puisque le bonhomme tranvase ma graisse excédentaire dans un autre récipient. Va donc, hé, boite de conserve !
Toujours est-il que nous sommes maintenant dans les airs, et que nous approchons de ce "Mont Blanc" dont ils parlent tant. Mais ils n'ont pas d'imagination, parce que tous les monts sont blancs à cette altitude.
-Tenez-vous, dit le pilote. Trou d'air. La porte est restée ouverte et l'appareil tangue dangeureusement. Et mes pieds qui reprennent le dessus, et je roule, roule, jusqu'à me retrouver au bord de l'orifice.
Trou d'air, et me voilà plongée dans le vide. Je vole, JE VOLE !
Et je finis par me retrouver sur un tas de neige au sommet d'un de ces monts blancs, tandis que l'hélicoptère disparaît dans la brume pour se perdre à jamais.
Et je me retrouve seule, mais enfin libre. Pour combien de temps ? Qui sera le prochain à m'empoigner ? Et je suis triste, tout à coup, en pensant à tous ceux qui voudraient m'avoir près d'eux, sur une table, alors qu'ils n'ont même pas de toit.
N.L.
Il est dit parfois que toutes les guerres ne sont que des guerres de religion. Alors dites-moi le nom de ce Dieu qui les autorise à tuer l'amour (Apologue d'Alegranza)
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gib - Votre Dévoué Gib
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par Lebrac
19 Sep 2012, 21:04
Rugby BWEst : In cauda venenum
"De toute mes qualités, et Dieu sait que j´en possède, ma modestie est celle que je préfère!" Lord Brett Sinclair
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Lebrac - Développeur de grippages
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par gib
20 Sep 2012, 23:11
J'ai trouvé un auteur qui ne manque pas d'humour, il se nomme Gordon Zola, et il écrit que croire en plusieurs Dieux, c'est avoir les foies !
Entre autres, il a écrit "Mozart est là"
voir ici
et ici
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Il est dit parfois que toutes les guerres ne sont que des guerres de religion. Alors dites-moi le nom de ce Dieu qui les autorise à tuer l'amour (Apologue d'Alegranza)
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par pierre du rail - 61
21 Sep 2012, 09:46
Bonjour,
Ce ne serait pas le père Gorgon ?
Et un prête qui commence à douter de sa religion, il fait une crise de foie ?
Cordialement.
Pierre
gib a écrit:J'ai trouvé un auteur qui ne manque pas d'humour, il se nomme Gordon Zola
Ce ne serait pas le père Gorgon ?
Et un prête qui commence à douter de sa religion, il fait une crise de foie ?
Cordialement.
Pierre
Râleur pas tenté 
En 1844 la "Budicom" roulait à 60 km/h
Vous êtes sur la bonne voie, bon train à tous.
Sur la ligne Argentan Granville, arrêtez-vous au PK26 pour faire le plein !
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pierre du rail - 61 - Bavard
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par Lebrac
21 Sep 2012, 09:54
N'est-ce pas le frère de Cambo?
Rugby BWEst : In cauda venenum
"De toute mes qualités, et Dieu sait que j´en possède, ma modestie est celle que je préfère!" Lord Brett Sinclair
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Lebrac - Développeur de grippages
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par gib
21 Sep 2012, 18:18
celui qui vit à Lébins ?
Je sens que le basque va se fâcher !
Je sens que le basque va se fâcher !
Il est dit parfois que toutes les guerres ne sont que des guerres de religion. Alors dites-moi le nom de ce Dieu qui les autorise à tuer l'amour (Apologue d'Alegranza)
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gib - Votre Dévoué Gib
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par Lebrac
27 Sep 2012, 10:58
Connaissez-vous l'élevage de chevaux où l'on s'amuse le plus?
C'est le Haras qui rit.
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Rugby BWEst : In cauda venenum
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par Lebrac
27 Sep 2012, 15:38
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Re: Zigomaticothéque......!!!!!
par Papou89
02 Oct 2012, 09:59
Au bord de la piscine, le maître-nageur :"Eh, toi, sors de la piscine et va te rhabiller !"
" Wo lui, j'ai fait quoi ?"
" Tu as uriné dans la piscine, je t'ai vu !"
" Wo ,l'bouffon, tout le monde pisse dans ta piscine !"
" Oui, mais pas du haut du plongeoir..." ..
Michel.
- Papou89
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