Undertaker a écrit:Bonjour à tous,
Il y a plein de choses intéressantes dans les derniers posts de Pierre bis, de sncb_nmbs et de blaisy ; à défaut d’y apporter des réponses, que je ne connais pas d’ailleurs, je me limiterai à quelques réflexions basées sur des constats.
C'est en parlant que des idées naissent dans l'esprit des gens, et ton vécu, me fait penser à ce qui va suivre.
Undertaker a écrit:Je maintiens que tout est règlementé à la SNCF ("c’est l’armée sans l’uniforme" m’avait-on dit quand j’étais jeune cheminot), ce qui n’exclut pas les cas particuliers ou les variantes justifiées par la recherche de la chose stabilisée.
C'est la même chose à la SNCB, et je pense à nombre d'entreprise de l'état (si je puis l'exprimé ainsi)
Undertaker a écrit:Je ne crois pas non plus à la dérive dans la teinte homologuée, du moins pas dans de tels écarts. Dans le cas qui nous intéresse, il s’agit bien de deux teintes fondamentalement différentes.(...)
(...) On recense alors trois teintes vertes : le vert celtique 301, le vert bleuté foncé 312 et le vert bleuté clair 313.
Je suppose que comme à la SNCB, les teintes mentionnées sont nomenclaturées et que ce n'est pas acheté au droguiste du coin par bidon de 25kg. Donc, c'est le service des achats et matières de la SNCF qui achète par grosses quantités.
Pour une simple erreur de numéro de nomenclature, il se peut qu'une des teintes commandées en grande quantité, le fut par erreur, tout du moins sur la quantité prévue. Dès lors, comme les peintures ont une date limite d'utilisation, il a bien fallut l'évacuer sur le matériel d'une manière ou d'une autre.
C'est un peu pour cela que j'émets l'opinion que lors des travaux de maintenance importants dans diverses ateliers, certains engins et/ou certains séries d'engins ont reçu la peinture commandée en trop.
Le soir, tous les chats sont gris, le jour toutes les locos sont vertes
