labbe a écrit:en cas d'urgence absolue

le conducteur arrete le train pour se soulager ,sans ça les anecdotes fleurissent au club où certains conducteurs indelicats se sont soulages dans des endroits incongrus de la machine ,laissant au suivant la surprise de la chose lors de reglages ou de verifications

mais c'est incontestablement un probleme ...
Ce n'est d'ailleurs pas spécifique aux conducteurs de trains. J'ai un cousin qui est copain de Franck Montagny, pilote automobile ayant été aux portes de la F1 et ayant courru à de multiples reprises aux 24h du Mans, notamment pour Peugeot (2e en 2011 entre autre). Il m'a dit que, quand un pilote a envie de pisser pendant un relais, il n'est pas question de s'arrêter et qu'il fait purement et simplement dans sa combinaison, qui de toute façon est trempée de sueur et doit être changée à chaque fin de relais. Ensuite le pilote qui prend le relais trouve la voiture dans l'état ou le précédent l'a laissée ... Bon, avec un peu de chance, s'ils ont des tailles un peu différentes, on change le siège, sinon ...
je rappelle qu'il s'agit de sièges "baquets" qui portent alors bien leur nom.
Une brute qui tourne en rond ne va pas plus loin que deux intellectuels assis (Michel Audiard revisité)