Mes souvenirs ferroviaires par Jean paul

Je ne suis point trop ferroviaire dans le sens ou on l'entends aux petits écartements, moi ce qui m’intéresse c'est la technique et les constructions à plus grosses échelles,
J'ai commencé maladroitement sur du Ho Voie étroite Jouef amalgamé à du Eiger bahn, un petit réseau minier avec ascenseur et plan incliné, un petit réseau sur deux étages, je me suis vite appercut que je n'était pas doué pour les décors, ayant besoin d'argent, j'ai revendu matériel roulant et voies la mort dans l’âme.
Beaucoup plus tard vers les années 80 je reviens sur mes premiers amours soit il y a 36 ans, vers les grands écartements, je commence par le 1/20 de la voie normale en 72 mm, mais me rendant compte que cette voie doit être posée en chandelle, et devant disposer de grands espaces, à l'abris des prédateurs en tous genres, je m'oriente vers la voie de 127 mm en 5 pouces dite de jardin. De préférence en club.
Je fais alors la connaissance de la CAV et de son fondateur Jean Villette.
Me rendant compte que de faire des réseaux du type HO prends du temps et de l'argent, mais étant quand même amoureux des grands trains, je me dirige vers la voie de 127 mm en voie étroite.
Oui j'affectionne surtout la voie de 60 et métrique.
Je fonde alors mon propre club appelé à l’époque Vapeur Hobby 69, 69 pour le département du Rhône France en 1988, Parce que je comptait pratiquer toutes sortes de modélisme à vapeur, et en faits c'est le train qui a retenue mon attention.
Construction alors à mes frais du premier réseau portatif du club en voie de 127 mm, parce qu'entre temps j'avais construit ma première loco vapeur au double écartement, 127 et 184 UGLY de 5 à 7 qui a fait les délices de bien d'amateurs de vapeur, et nous a appris ce qu'était le chemin de fer de jardin.
On oeuvre ainsi durant 4/5 ans en multipliant les démonstrations et expositions de modélisme, à savoir une par mois, car le seul moyens d’expression de l'association, c'est son réseau portatif, à transporter petits et grands, et surtout gagner quelques sous , pour établir plus tard dans le Rhône un réseau ferroviaire fixe aidé par une municipalité complaisante.
Il faut savoir qu'en France, grâce à la loi de 1901, un club a le droit de gagner de l'argent, mais de ne pas être lucratif, c'est à dire distribuer ses gains à ses membres, hors les frais que ceux ci doivent engager au nom de l'association.
Au début, les gars par ignorance des loi associatives ne voulait faire payer personne du public ? Mais dans ces conditions, comment progresser, et comment entretenir le matériel ?
De faits je prends le taureau par les cornes et prends rendez vous avec l'inspecteur des impôts.
Quelle n'a pas été ma surprise d'apprendre qu'on avait le droit de gagner à l'époque 1990, 15 000 francs Français, l'année suivante reportée à 30 000 francs, puis à 45 000 Francs, et en euro actuels 29 000 à 30 000 €/an.
Tous les membres sont tombés sur leur c u l.
De faits les bénéfices de l'association ont montés en flèche en multipliant les démonstrations de tous poils en France métropolitaine ou l'on allait parfois fort loin comme à Auvers dur Oise, ou à Rouen en Zénith .
Les buts étaient de se trouver une municipalité complaisante qui nous établiraient sur un terrain communal pour construire un réseau ferroviaire en 5 pouces de base, mais extensible en métrage de voies, pouvoir construire des bâtiments de servitude et autres de fonctionnement accueillir le public payant, et toucher des subventions municipales et régionales.
En faits, le beurre, l'argent du beurre, le sourire de la crémière et du crémier, leur derrière avec lol et mort de rire.
Ci fait on a eu droit à un terrain viabilisé eau et électricité, sur les anciennes voies de garage de la gare de Ste Foy l'Argentière ou se produisait depuis 15 ans déjà, le chemin de fer touristique de la Brevenne CFTB en voie normale.
Le projet modélisme visait surtout à retenir les visiteurs sur la commune de Ste Foy.
En accords avec mes copains et dans un but d'uniformisation du matériel roulant transportant petits et grands on avait opté pour la voie étroite et la voie métrique le matériel de voie normale jurant par trop en taille par rapport aux autres matériels. Mais étant tout aussi performants.
A l'époque on travaille tous, je suis serrurier chaudronnier et bosse en fonction publique territoriale en services d'entretient, donc tous loisirs de faire mes bricoles en achetant ma ferrailles et en bénéficiant des prix de gros de mon entreprise, mais on a aussi des mécaniciens, un ingénieur, des agents SNCF de terrain électro mécaniciens, en faits que des amateurs constructeurs en mécaniques sachant tourner fraiser souder braser.
On établis un plan général réseau et ses dépendances, voies de garage, voies d'évitement, rebroussements ponts tournant sur retonde en vue de garer sur place tous le matériel roulant.
Et l'on inaugure ce premier réseau fixe en grande pompe avec fanfare municipale en Juin 1996.
Bon an mal an on fait ainsi 3 saisons d’exploitation gagnant chichement notre pécule, car un accord avait été conclu avec la municipalité : Celle ci nous établis à ses frais nos infrastructures de base terrassements et clôture, à notre charge de faire gratuit aux voyageurs du grand train. Et donc durant 5 ans on a rien gagné du grand train, sauf la mise a disposition d'un vieux wagon à bestiaux couvert, du type 8 chevaux 30 hommes, laissé sur sa voie de tiroir.
En 98 la municipalité accepte de nous laisser une bande de terrain pour une extension des voies et de payer ces frais au terrassier. L'établissement de notre réseau fixe ayant coûté à la municipalité 2,400 000 €.
C'est à cette époque que tous mes membres m'ont laissés tomber sous différends prétextes, dont celui principal de devoir encore retrousser leurs manches pour établir cette éxtention des voies, je me suis donc retrouvé tout seul à gérer mon association, sachant que j'avais des devoirs envers mon administration de tutelle.
Une jeune femme et ses enfants vinrent me rejoindre durant ces années presque noires, on a continués l’extension, l’exploitation du réseau en saison, et surtout les démonstrations extérieures avec le réseau portatif qui était notre gagne pain principal pour faire vivre l'association et ses réseaux ferroviaires.
Le rêve à continué jusqu'en 2007, ou le repreneur actuel m'a cassée ma baraque, j'ai pas vu venir le coup , Ses motivations premières étant de me piquer les réseaux pour son fils grand amateur ferroviaire.
Ça tombait bien, je commençais à été fatigué, et voulais faire autre choses : Construire des engins de TP électro hydrauliques fonctionnels, et changer de région, et c'est en 2010 que je rencontrait ma dame de Haute Savoie, lol, Lyonnaise comme moi ?

J'ai commencé maladroitement sur du Ho Voie étroite Jouef amalgamé à du Eiger bahn, un petit réseau minier avec ascenseur et plan incliné, un petit réseau sur deux étages, je me suis vite appercut que je n'était pas doué pour les décors, ayant besoin d'argent, j'ai revendu matériel roulant et voies la mort dans l’âme.
Beaucoup plus tard vers les années 80 je reviens sur mes premiers amours soit il y a 36 ans, vers les grands écartements, je commence par le 1/20 de la voie normale en 72 mm, mais me rendant compte que cette voie doit être posée en chandelle, et devant disposer de grands espaces, à l'abris des prédateurs en tous genres, je m'oriente vers la voie de 127 mm en 5 pouces dite de jardin. De préférence en club.
Je fais alors la connaissance de la CAV et de son fondateur Jean Villette.
Me rendant compte que de faire des réseaux du type HO prends du temps et de l'argent, mais étant quand même amoureux des grands trains, je me dirige vers la voie de 127 mm en voie étroite.
Oui j'affectionne surtout la voie de 60 et métrique.
Je fonde alors mon propre club appelé à l’époque Vapeur Hobby 69, 69 pour le département du Rhône France en 1988, Parce que je comptait pratiquer toutes sortes de modélisme à vapeur, et en faits c'est le train qui a retenue mon attention.
Construction alors à mes frais du premier réseau portatif du club en voie de 127 mm, parce qu'entre temps j'avais construit ma première loco vapeur au double écartement, 127 et 184 UGLY de 5 à 7 qui a fait les délices de bien d'amateurs de vapeur, et nous a appris ce qu'était le chemin de fer de jardin.
On oeuvre ainsi durant 4/5 ans en multipliant les démonstrations et expositions de modélisme, à savoir une par mois, car le seul moyens d’expression de l'association, c'est son réseau portatif, à transporter petits et grands, et surtout gagner quelques sous , pour établir plus tard dans le Rhône un réseau ferroviaire fixe aidé par une municipalité complaisante.
Il faut savoir qu'en France, grâce à la loi de 1901, un club a le droit de gagner de l'argent, mais de ne pas être lucratif, c'est à dire distribuer ses gains à ses membres, hors les frais que ceux ci doivent engager au nom de l'association.
Au début, les gars par ignorance des loi associatives ne voulait faire payer personne du public ? Mais dans ces conditions, comment progresser, et comment entretenir le matériel ?
De faits je prends le taureau par les cornes et prends rendez vous avec l'inspecteur des impôts.
Quelle n'a pas été ma surprise d'apprendre qu'on avait le droit de gagner à l'époque 1990, 15 000 francs Français, l'année suivante reportée à 30 000 francs, puis à 45 000 Francs, et en euro actuels 29 000 à 30 000 €/an.
Tous les membres sont tombés sur leur c u l.
De faits les bénéfices de l'association ont montés en flèche en multipliant les démonstrations de tous poils en France métropolitaine ou l'on allait parfois fort loin comme à Auvers dur Oise, ou à Rouen en Zénith .
Les buts étaient de se trouver une municipalité complaisante qui nous établiraient sur un terrain communal pour construire un réseau ferroviaire en 5 pouces de base, mais extensible en métrage de voies, pouvoir construire des bâtiments de servitude et autres de fonctionnement accueillir le public payant, et toucher des subventions municipales et régionales.
En faits, le beurre, l'argent du beurre, le sourire de la crémière et du crémier, leur derrière avec lol et mort de rire.
Ci fait on a eu droit à un terrain viabilisé eau et électricité, sur les anciennes voies de garage de la gare de Ste Foy l'Argentière ou se produisait depuis 15 ans déjà, le chemin de fer touristique de la Brevenne CFTB en voie normale.
Le projet modélisme visait surtout à retenir les visiteurs sur la commune de Ste Foy.
En accords avec mes copains et dans un but d'uniformisation du matériel roulant transportant petits et grands on avait opté pour la voie étroite et la voie métrique le matériel de voie normale jurant par trop en taille par rapport aux autres matériels. Mais étant tout aussi performants.
A l'époque on travaille tous, je suis serrurier chaudronnier et bosse en fonction publique territoriale en services d'entretient, donc tous loisirs de faire mes bricoles en achetant ma ferrailles et en bénéficiant des prix de gros de mon entreprise, mais on a aussi des mécaniciens, un ingénieur, des agents SNCF de terrain électro mécaniciens, en faits que des amateurs constructeurs en mécaniques sachant tourner fraiser souder braser.
On établis un plan général réseau et ses dépendances, voies de garage, voies d'évitement, rebroussements ponts tournant sur retonde en vue de garer sur place tous le matériel roulant.
Et l'on inaugure ce premier réseau fixe en grande pompe avec fanfare municipale en Juin 1996.
Bon an mal an on fait ainsi 3 saisons d’exploitation gagnant chichement notre pécule, car un accord avait été conclu avec la municipalité : Celle ci nous établis à ses frais nos infrastructures de base terrassements et clôture, à notre charge de faire gratuit aux voyageurs du grand train. Et donc durant 5 ans on a rien gagné du grand train, sauf la mise a disposition d'un vieux wagon à bestiaux couvert, du type 8 chevaux 30 hommes, laissé sur sa voie de tiroir.
En 98 la municipalité accepte de nous laisser une bande de terrain pour une extension des voies et de payer ces frais au terrassier. L'établissement de notre réseau fixe ayant coûté à la municipalité 2,400 000 €.
C'est à cette époque que tous mes membres m'ont laissés tomber sous différends prétextes, dont celui principal de devoir encore retrousser leurs manches pour établir cette éxtention des voies, je me suis donc retrouvé tout seul à gérer mon association, sachant que j'avais des devoirs envers mon administration de tutelle.
Une jeune femme et ses enfants vinrent me rejoindre durant ces années presque noires, on a continués l’extension, l’exploitation du réseau en saison, et surtout les démonstrations extérieures avec le réseau portatif qui était notre gagne pain principal pour faire vivre l'association et ses réseaux ferroviaires.
Le rêve à continué jusqu'en 2007, ou le repreneur actuel m'a cassée ma baraque, j'ai pas vu venir le coup , Ses motivations premières étant de me piquer les réseaux pour son fils grand amateur ferroviaire.
Ça tombait bien, je commençais à été fatigué, et voulais faire autre choses : Construire des engins de TP électro hydrauliques fonctionnels, et changer de région, et c'est en 2010 que je rencontrait ma dame de Haute Savoie, lol, Lyonnaise comme moi ?



